Déjeuner au matin du 5ème jour, comme d'hab j'arrive très tôt pour éviter la cohue, avoir le choix et surtout prendre mon temps, après le petit déjeuner, pour faire le tour de ma chambre et vérifier de n'avoir rien oublié avant le départ, pendant que les autres se dépêchent de manger.
L'avantage de voyager seule c'est qu'on gère bien son temps, n'est-ce pas ?

Départ, en route arrêt à Ifrane pour voir le "dernier lion de l'Atlas" sculpté par un prof de dessin voir ICI

mais vous pouvez chercher plus de renseignements sur google

La ville est d'une propreté que l'on pourrait envier, de quelque pays que l'on soit !
re départ pour la traversée du Moyen Atlas, à travers les vitres du bus :


la forêt

au passage petit arrêt pour dire bonjour à nos cousins quadrumanes :

les commerçants du bord de route les nourrissent afin de les attirer, ainsi les touristes s'arrêtent, ... et c'est bon pour le commerce , mdr



re départ, au milieu de nulle part, des tentes pour une population semi nomade, composée de bergers en grande partie


paysage semi désertique

bâtiment en dur
on croisera souvent des maisons "pas finies" rien à voir avec les taxes et impôts comme dans certains pays, (où une maison en construction n'est pas assujettie aux impôts locaux), mais il s'agit plutôt de constructions élaborées au fur et à mesure que les finances le permettent. Souvent famille et voisins participent à la construction.


des villages poussent dans ce qui nous semble être un désert, mais non ...

il y a des arbres, donc de l'eau, donc ..

désolée pour les photos pas trop verticales, mais en bus, à travers les vitres, c'est limite mission impossible d'avoir de belles photos bien cadrées

station service : moins d'un euro le litre (ils nous font le change en arrondissant : 10 dirhams pour 1 euro)

arrêt restau de bord de route

à nouveau de la route, désert de rocaille

paysages variés





de l'eau !!!



pouvais plus m'empêcher de photographier l'eau, surtout cette gorge

magnifiques strates au dessus de l'oued

troupeau de chèvres

une vue qui m'a immédiatement fait penser aux contes du moyen orient

et là une oasis comme je me l’imaginais enfant ... palmier, eau
Malheureusement les palmiers dattiers sont attaqués par une sale maladie qui se propage, chaque jour les habitants les inspectent et dès qu'un palmier est atteint, il est abattu et brûlé, seule façon connue à ce jour pour lutter contre cette maladie. Le palmier dattier est une ressource importante, tant pour le commerce intérieur qu'à l'export. Et ... je vous confirme : les dattes au Maroc, sont plus moelleuses et savoureuses que la plupart de ces machins rabougris qu'on nous vend en France.

entre les palmeraies : du désert, encore, mais pas celui que j'attends depuis le début de mon voyage et que je retrouverai le soir même.

une palmeraie, sur le bord de la route des vendeurs de dattes, je plongerai tête la première dans ma gourmandise, oubliant de les photographier ... quant aux dattes que je devais ramener en France ... elles n'ont même pas vu l'aéroport ! mdr


et on repart vers le bivouac.
Le guide nous explique en long, en large et en travers qu'on a le choix entre dormir sous la tente (sans clim, avec des douches communes et une chaleur étouffante) et dormir dans les chambres, rustiques certes, mais avec sanitaires privés et clim ... Bizarrement, le soir, personne ne choisira la tente !
suite à la prochaine publication